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Une
Introduction visualisée
Avec une carte : la position de l'Allemagne et la transition
entre l'Europe occidentale et l'Europe médiane
Avec des histogrammes :
- son importance démographique
- sa puissance économique : classement de son P.I.B. global - la
2e puissance commerciale mondiale
- sa richesse : P.I.B. par habitant
PLAN
1er
thème : L'identité en Allemagne
Une
communauté culturelle par la langue :
- les langues germaniques divisées en plusieurs rameaux
- le Haut-Allemand, pratiqué en Allemagne centrale, triomphe surtout
avec Luther qui traduit la Bible en Allemand et publie ses 95 thèses
(1517)
malgré
les divisions religieuses résultant de la Paix d'Augsbourg
(1555) qui pose le principe "cujus regio ejus religio". Réforme
puis contre-réforme expliquent la carte de répartition Protestants/Catholiques
actuelle. Les Ministres des Cultes sont payés par l'Etat grâce
à un impôt spécifique.
L'émergence d'une Nation
Sous l'influence de la France, du fait de :
- la montée et la transposition des idées d'un nouvel ordre
social nées de la Révolution française
- la réaction contre les bouleversements napoléoniens territoriaux
(disparition du Saint Empire en 1806 et création de la confédération
du Rhin sous protectorat français) et nationalistes.
La naissance tardive d'un Etat unifié
1815 marque un retour
au morcellement politique antérieur et suscite la déception
d'un nationalisme montant. La Diète de Francfort (non élue
et sans pouvoirs réels) et l'Union Douanière du Zollverein
(1834) sont les seules avancées de la Confédération
germanique qui a remplacé le Saint Empire.
La rivalité entre
les deux puissances tutélaires, Autriche et Prusse, bloque toute
tentative d'unification. Sous l'impulsion de Bismarck, la Prusse va réaliser
le 1er Reich, en deux étapes :
- guerre gagnée contre l'Autriche en 1866 et création de
la Confédération de l'Allemagne du nord (au nord du Main)
- guerre gagnée contre la France en 1870 : le Reich est fondé
à Versailles en janvier 1871.
Comment faire coïncider spatialement ces trois réalités
?
Pour les nationalistes
politiques (Bismarck ou Hitler à 60 ans d'intervalle), les frontières
de l'Etat doivent coïncider avec les limites des langues germaniques.
D'où des annexions territoriales contre la volonté des populations
(Alsace-Lorraine en 1871) et les conquêtes hitlériennes après
1937 (si les colons allemands sont trop éloignés on les
"rapatrie" dans les nouvelles frontières après
expulsions des populations locales).
Même après des siècles d'expatriation, ces colons
restent "allemands" en application du droit allemand sur la
nationalité fondée sur le jus sanguinis.
La défaite de
1945 a deux conséquences immédiates :
- la réduction territoriale de l'Allemagne à l'Est : la
frontière est fixée sur la ligne Oder-Naisse imposée
par l'U.R.S.S.
- l'application du principe précédent de coïncidence
: l'expulsion de presque tous les habitants de langue allemande vers le
nouveau territoire réduit.
Le dernier avatar : l'Etat allemand écartelé pendant
40 ans
Les rivalités
entre Soviétiques et Occidentaux aboutissent à la création
des deux Etats allemands en 1949 : la R.D.A. à l'Est et
la R.F.A. à l'Ouest.
Berlin elle-même, encastrée dans la zone soviétique
est coupée en deux. Pour éviter la fuite des Allemands de
l'Est vers la liberté, les gouvernants communistes de R.D.A. enserrent
la limite de barbelés, de mines et de miradors et construisent
le Mur de Berlin, "mur de la honte", en 1961.
L'effondrement de l'U.R.S.S.,
les révoltes en R.D.A., la destruction populaire du Mur de Berlin
sonnent le glas des dirigeants est-allemands en 1989. L'année 1990
marque, avec les nouveaux dirigeants de l'Est élus démocratiquement,
un double-accord :
- d'union économique, monétaire et sociale, le 1er juillet
- d'unification politique le 3 octobre
La diversité interne d'un Etat fédéral
Le traité d'unification se fait entre les Länder est-allemands
et la République fédérale, dont le nom est conservé
par le nouvel Etat réunifié. Que sont donc les Länder
et comment fonctionne le fédéralisme ?
Trois points méritent attention :
- les Länder expriment les diversités territoriales et les
héritages historiques, d'où leur extrême variété
de taille et de population (et même d'appellation : Etat libre de
Bavière ou de Saxe, Villes libres de Brême ou de Hambourg,
etc.).
- les Länder ont des compétences administratives étendues
(enseignement, culture, aménagement du territoire, régime
des eaux, etc.) auxquelles s'ajoutent le droit communal et les territoires
de police.
- les 16 Länder nomment entre 3 et 6 représentants à
l'une des deux Chambres du Parlement allemand, le Bundesrat, dont l'approbation
est nécessaire pour plus de la moitié des lois.
PLAN
2e
Thème : Le pays et sa population
Partir de
deux cartes simples en vis-à-vis :
- des régions naturelles du territoire
- de la répartition de la population
pour soutenir les deux premiers paragraphes de cette leçon.
Entre des côtes basses au nord et l'écran alpestre
au sud : trois grands paysages :
Une grande plaine au
Nord, légèrement vallonnée aux sols pauvres hérités
de la glaciation quaternaire avec des étendues lacustres frangée
au bord de la Mer du Nord de marais et de polders et au sud de sols limoneux
tres fertiles (la Börde).
Une Allemagne centrale
de moyennes montagnes, riches de minerais en leur sein ou sur leurs bordures,
drapées de forêts, et compartimentée par des percées
fluviales (la Trouée héroïque du Rhin).
Une Allemagne méridionale
au relief différencié avec au nord du Danube les plateaux
de Souabe-Franconie, au sud les vallonnements du piémont bavarois.
Le peuplement (répartition de la population sur le
territoire) est très contrasté.
La comparaison des deux cartes explique largement les inégales
densités. Mais les différences doivent être analysées
tout autant que les coïncidences.
La répartition
des fortes densités fait apparaître :
- un grand couloir rhénan, avec des excroissances à
l'est : la Ruhr, la confluence Rhin/Main, la zone Rhin/Neckar, de direction
sud-nord
- un grand axe est-ouest calqué sur la zone de la Börde et
le pied minier des moyennes montagnes. On peut l'appeler l'axe Saxon
(Basse Saxe, Saxe-Anhalt, Saxe)
- des noyaux localisés : les villes de la Hanse (Brême,
Hambourg, Lübeck), l'agglomération berlinoise, la Sarre, les
deux foyers bavarois (Nuremberg au nord de Ulm à Munich au sud).
Des flux migratoires
internes brassent ces populations
- le plus important d'est en ouest consécutif aux expulsions d'après
1945, puis des fuites de la R.D.A., enfin à la réunification
- un plus récent du nord vers le sud qui traduit le déclin
des grandes régions d'industrie lourde (Ruhr) et l'essor du Bade-Wurtemberg
et de la Bavière.
Une démographie très caractéristique
Le territoire allemand
est habité par 82 millions d'habitants dont 7 % sont des étrangers,
tandis que 100 millions d'Européens ont l'allemand pour langue
maternelle. Les étrangers sont soit des travailleurs immigrés,
soit des réfugiés politiques. Turcs et Yougoslaves en représentent
presque la moitié. Leur intégration est difficile et leur
naturalisation très rare.
La pyramide des
âges traduit les aléas historiques
- des déficits de naissances engendrent les classes creuses des
deux guerres mondiales
- mais paradoxalement les expulsions d'après 1945 ont contrebalancé
les pertes en vies humaines, des années 1939-1945.
Le baby-boom de l'après-guerre
a cédé la place à un effondrement de la natalité
depuis 25 ans. La population vieillit et le taux de natalité
(9,8 0/00) est très inférieur au taux de mortalité
(11,1 0/00). Dans un pays où, depuis Bismarck, existe un remarquable
système d'assurances-maladie-accidents-invalidité-vieillesse,
le niveau des allocations familiales est très faible et les abattements
d'impôts pour enfants à charge réduits. Les mesures
qui favorisaient la natalité dans la R.D.A. ont disparu. Avec déjà
22 % de retraités (47 % prévus en 2030 ?) les structures
démographiques nécessitent d'urgentes solutions sociales.
PLAN
3e
thème : Une grande puissance économique
L'Allemagne est le 3e pays mondial par le P.I.B. et le 2e pour les échanges
internationaux.
Les moyens de la puissance
Ils reposent sur une trilogie : ressources naturelles, force financière,
qualité des hommes.
Des ressources naturelles
abondantes
- minérales : du sous-sol, on extrait du charbon, houille
de la Ruhr (70 millions de tonnes) et lignite (240 millions de tonnes)
de plus en plus transformés sur place en électricité
ou en gaz, mais aussi du pétrole et du gaz naturel, de la potasse
et du sel gemme, ainsi que du minerai d'uranium.
- agricoles : le bois des forêts (40 millions de stères)
pour la construction, la chimie, le papier; l'orge et le houblon pour
la bière; la betterave pour le sucre; la viande et le lait pour
l'agro-alimentaire.
La force financière
et monétaire
- l'Allemagne dispose d'un puissant système bancaire où
coexistent les 3 grandes : DeutscheBank, DresdnerBank et Cammerzbank,
et Caisses d'Epargne et Banques Coopératives, et de capitaux abondants.
- la Bundesbank est la gardienne de la monnaie, le D.M. (Deutsche
Mark) créé en 1949 en République Fédérale.
Le D.M. a toujours été une monnaie forte, à peine
ébranlée par l'absorption de la monnaie est-allemande dépréciée
au taux de conversion de 1 pour 1, et qui a joué un rôle
prépondérant dans l'Euro, entraînant la fixation de
la Banque Centrale Européenne à Francfort. Le D.M. est utilisé
comme monnaie parallèle dans les pays de l'Est européen
où la monnaie nationale ne cesse de se dévaluer.
Une population active
de qualité
- le taux d'activité de la population est proche de 60 %. Un peu
plus d'un tiers est occupé dans l'industrie et près des
deux tiers dans le tertiaire, privé ou public.
- la formation générale et professionnelle est de qualité.
L'apprentissage (50 % du temps en entreprise; 50 % du temps à l'école,
avec salaire pendant 3 ans) assure la valeur du personnel d'exécution.
Le nombre et la compétence des cadres profite aux entreprises et
à la recherche grâce à des budgets élevés
de recherche et de développement (3e rang mondial pour les brevets).
Un double souci
bien maîtrisé
- un souci écologique de protection et de conservation de
l'environnement et des ressources naturelles.
- un souci de paix sociale. Sous l'égide de l'Etat qui veille
à l'essor économique au bénéfice du plus grand
nombre (Economie Sociale de marché), patronat et syndicats
de salariés, également puissants, négocient périodiquement
des conventions collectives par branches et participent à
la cogestion des entreprises.
Les deux grands domaines d'activité
Des industries puissantes
et variées
- de grands groupes industriels font la réputation mondiale des
fabrications allemandes. Chacune des grandes branches de production a
son ou ses leaders. L'automobile avec Daimler-Benz (Mercedes), Volkwagen
ou B.M.W., l'électronique avec Siemens et Bosch, la chimie avec
Bayer, Hoechst et B.A.S.F., l'énergie avec R.W.E. et Veba, la sidérurgie
avec Thyssen. Et à côté des firmes spécifiquement
allemandes, beaucoup de filiales de groupes étrangers sont implantées
: Total-Fina pour le pétrole, General Motors-Opel pour l'automobile,
et bien d'autres. Cette pénétration étrangère
s'est accentuée avec les partenariats internationaux, à
l'exemple de DASA du groupe Daimler-Benz fusionnant avec Aérospatiale-Matra
pour l'aéronautique, le spatial, la défense.
- les sites industriels sont largement répartis dans tout
le territoire. Tantôt regroupés en une vaste conurbation
comme en Rhénanie du nord-Westphalie, où voisinent
puits de mine de houille, usines sidérurgiques et activités
dérivées (mécanique) ou de reconversion (automobile)
dans la Ruhr, de Duisbourg à Dortmund de part et d'autre de la
métropole d'Essen. Mais aussi, plus au sud, les industries de précision
de Wappertal, plus à l'ouest les fabrications multiples de Düsseldorf
et de Cologne, la chimie de Leverkusen et en direction de la frontière
des Pays-Bas l'extraction à ciel ouvert du lignite ou le textile
de Krefeld. Tantôt centrés autour d'une métropole
régionale : l'évolution la moins favorable concerne
les industries lourdes (charbon, sidérurgie) comme en Sarre ou
en Saxe. La plus dynamique quand il y a diversification ou prépondérance
de la haute technologie : la région de Stuttgart passant de l'extraction
du sel à la chimie des colorants et à la fabrication des
métiers pour les besoins du textile puis à la construction
automobile et à l'électronique.
un tertiaire dynamique
et multiforme
Il s'explique par la diversité de ses statuts et de ses activités.
10 % des actifs travaillent dans l'administration et le secteur social.
14 % dans le commerce qui englobe aussi bien les grands négociants
de l'international, que la grande distribution (Metro) ou les magasins
de détail. 9 % ont un emploi dans les communications, les banques,
les assurances. Et la puissance allemande se retrouve dans des domaines
comme l'édition (Bertelsmann) ou la presse, où Hambourg
joue un rôle dominant (Bild, Die Zeit ont des tirages de plusieurs
millions).
CONCLUSION
Cette puissance a ses revers :
le rôle déclinant
des ressources du sous-sol
le coût élevé
du travail (forts salaires, charges) et la valeur forte du D.M. surenchérissent
les productions allemandes, menaçant la compétitivité
et les exportations, incitant les entreprises à transférer
leurs activités
le très lourd
prix de la réunification qui reste en majorité à
la charge des finances publiques malgré les mesures de privatisation
ou de fermeture.
PLAN
4e
thème : Unité et diversité du territoire allemand
Villes et campagnes étroitement imbriquées
Plus de 91 % des habitants
sont citadins, 7 millions seulement vivent dans des communes de moins
de 2000 personnes. Les villes forment une trame très dense sur
tout le territoire, mais - contrairement à la France (Paris), ou
à la Grande-Bretagne (Londres) - aucune ne dépasse 2 millions
d'âmes et n'a de prééminence nationale. Les grandes
villes (85 de plus de 100 000 habitants) regroupent 26 millions d'habitants,
les moyennes et les petites, 46 millions.
L'armature urbaine
comprend plusieurs générations :
- les villes de la fin du Moyen-Age (13e et 14e siècles), cités
marchandes, nées aux carrefours des routes du commerce terrestre,
ou villes de la Hanse. La tradition de négoces s'y perpétue
à travers foires internationales et salons (Leipzig, Hanovre, Francfort,
Hambourg)
- les villes "princières" dont le nombre témoigne
du morcellement politique d'autrefois avec leurs palais et leurs cathédrales
- les villes de la révolution industrielle après 1850, notamment
les grandes cités minières, sidérurgiques, textiles
ou chimiques.
- la tendance croissante à la formation des grandes conurbations
où les activités industrielles et tertiaires sont également
épanouies
Les villes allemandes,
détruites à plus de 50 % par la guerre de 1939-1945 ont
été reconstruites avec talent, combinant la reconstruction
à l'identique du patrimoine architectural et les normes de l'urbanisme
moderne. Réunifiée en 1989, Berlin est le dernier grand
chantier en cours.
Mises à part
les étendues de sols pauvres, couvertes d'importantes forêts
(11 millions d'hectares), les campagnes sont très dynamiques.
L'espace agricole y est mis en valeur par 550 000 exploitants généralement
propriétaires dont les revenus viennent plus de l'élevage
que des cultures. Ils sont groupés en coopératives, très
anciennes à l'ouest, plus récentes à l'est où
elles ont hérité de la décollectivisation des exploitations.
Dans les campagnes, résident aussi beaucoup de familles ayant leur
emploi en ville, du fait de la multiplicité des centres urbains.
Un maillage très dense de communications
Fleuves aménagés
et grands canaux offrent 7000 km à une batellerie très
sollicitée pour le transport des marchandises. Le Rhin et l'Elbe
dans le sens méridien, le Canal Mittelland et la liaison Main-Danube
à la perpendiculaire, forment un vrai quadrillage. Le Canal de
Kiel réunit les deux façades maritimes. Celle de la Mer
du Nord présente deux grands ensembles portuaires d'égale
importance : Hambourg et Brême-Bremerhaven-Wilkelmshaven.
Routes et chemins
de fer répondent au double besoin du fret et des voyageurs.
Bien que possédant plus de 1100 km d'autoroutes, souvent à
triple voie, la circulation automobile est si intense qu'il faut sans
cesse prévoir des travaux de modernisation du réseau routier.
La densité du réseau ferroviaire permet aussi bien l'approvisionnement
des industries que les déplacements de voyageurs, innombrables
banlieusards ou sur les grandes lignes. La Bundesbank gère l'ensemble
et veille aussi à la modernisation (trains rapides Intercity, rénovation
générale dans l'ex-R.D.A.). L'Allemagne possède aussi
de grands aéroports, dont Francfort, premier en Europe pour
le fret et une puissance compagnie aérienne : Lufthansa.
Régions riches, régions pauvres
L'observation de deux
cartes des Länder : P.I.B. par habitant et Taux de chômage,
fait apparaître, par une assez remarquable coïncidence, trois
situations :
- la plus favorable s'étend sur une diagonale NW-SE allant de la
Rhénanie-Westphalie à la Bavière : aisance matérielle
et bonne situation de l'emploi
- la moins bonne recouvre tous les Länder de l'ex-R.D.A., y compris
Berlin : les Ossies sont loin encore de partager la prospérité
des Wessies
- à mi-chemin, les flancs sud (Sarre, Rhénanie-Palatinat)
et nord (Basse-Saxe) de la diagonale sont plus ou moins bien placés
en terme de ressources ou d'emploi.
Les situations locales
sont pleines de contrastes
- au sein des façades maritimes, Brême et Hambourg regorgent
de richesses quand les villes de la Baltique apparaissent stagnantes
- la Rhénanie-Westphalie, la Ruhr ne cessent de se confronter à
une difficile reconversion, alors que les métropoles rhénanes,
Cologne et Düsseldorf sont propères
- au sein de la Hesse, Francfort éclabousse de prospérité
une moitié septentrionale et rurale du land assez pauvre
- à l'est, Berlin est désormais dopée par le retour
de sa fonction de capitale dans un environnement en crise profonde.
PLAN
Documents à photocopier dans les
manuels de 4e
I - Pour le thème "L'identité allemande"
Dans le manuel Bordas
: L'Allemagne depuis 1871
(4 cartons) p. 228
Dans le manuel Nathan
: les 16 Länder
(avec leurs capitales) p. 198
Dans le manuel Nathan
: les religions en Allemagne p. 200
La carte des Länder mériterait d'être accompagnée
:
- d'un tableau statistique faisant ressortit les différences de
taille et de population
- d'un schéma sur le rôle des Länder dans le fonctionnement
fédéral de l'Etat allemand inspirés du Bréal,
terminales p. 207, avec, dans le tableau, indication des superficies et
suppression des 2 colonnes de droite.
II -
Pour le thème "Le pays et sa population"
Dans le manuel Bordas
: L'espace (naturel) allemand auquel il conviendrait d'ajouter la zone
de la Börde, p. 229
La meilleure carte du
peuplement est dans le manuel Nathan,
p. 199, mais elle est complexe. Un schéma simplificateur serait
préférable.
Aucune pyramide des
âges : il faut aller la prendre dans un manuel de Terminales Bréal
p. 182 ou mieux Nathan p. 169
Schéma du déclin
démographique dans le manuel Nathan p. 200
III -
Pour le thème "Une grande puissance économique"
La seule carte acceptable
des zones d'activité est dans le Nathan p. 203
On pourrait y ajouter
la région de Stuttgart, Terminales Hachette p. 197, ou la Ruhr,
Terminales Nathan p. 197
IV -
Pour le thème "Unité et diversité du territoire
allemand "
Pour la répartition
des villes reprendre la carte Nathan p. 199 indiquée au
II - 2
Pour la description
des villes : Plan du centre de Munich dans Bordas p. 241; Berlin,
2 pages dans Bordas p. 238-240 et 2 pages dans Hachette
p. 322-323
Pour les voies navigables
et les routes, 2 cartes dans Nathan p. 202
Pour la comparaison
Carte du P.I.B./hab. et Carte du chômage, les deux par land, dans
Nathan p. 204, mais les statistiques du P.I.B. sont fausses.
PLAN
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